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Editorial

Naguère inavouées et inavouables, les écoutes téléphoniques se sont banalisées dans notre pays pendant la décennie Aziz. A tel point qu’elles sont devenues presque normales. Et, en l’absence de débat d’idées sur la scène politiques, nos citoyens, de tous les niveaux, souvent inconsciemment, se délectent à se passer les enregistrements, réalisés frauduleusement, sur les réseaux sociaux et sur l’application WhatsApp. ...Lire la suite

Enquêtes
Affaire Pegasus – Nasser Bourita : « Qui a intérêt à ostraciser le Maroc ? C’est là la vraie question » Imprimer Envoyer
Dimanche, 25 Juillet 2021 02:44

june affrique Par François Soudan

Jeune Afrique : Que pensez-vous des révélations faites par Amnesty International et le consortium de journalistes Forbidden Stories concernant l’utilisation du logiciel Pegasus par le Maroc ?
Nasser Bourita : Au-delà de cet écran de fumée – ce coup de bluff, si je puis me permettre – monté de toutes pièces et sans preuve aucune, il convient de jeter la lumière sur les faits, loin de la polémique et de la calomnie.
C’est ce que ne font ni Forbidden Stories ni Amnesty International, qui se basent uniquement sur de pures supputations. Certains titres syndiqués au sein de ce consortium servent des agendas bien connus pour leur hostilité primaire envers le Maroc et sont ulcérés par ses succès sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Si « révélations » il y a, c’est bien la sortie au grand jour de cette hostilité, qui ne peut plus se cacher derrière ses allures savantes et policées. Ce n’est pas du journalisme. C’est du sabotage à grande échelle.
Maintenez-vous votre position déjà affirmée en 2019, selon laquelle le Maroc n’a pas acquis le logiciel Pegasus ?
Absolument ! Nous la maintenons et nous l’assumons en toute responsabilité. Je vous renvoie aux communiqués rendus public, les lundi 19 et mercredi 21 juillet, par le Gouvernement et dans lesquels le Royaume du Maroc « condamne vigoureusement la persistante campagne médiatique mensongère, massive et malveillante, évoquant une prétendue infiltration des appareils téléphoniques de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers un logiciel informatique ».

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Edito n° 606 Imprimer Envoyer
Jeudi, 10 Mars 2011 11:48

Il est clair que nous traversons une période trouble. Les répercussions de la révolution arabe ne peuvent nous épargner. Du Bahreïn à la Lybie, les peuples se réveillent et crient  leur ras le bol. Les systèmes politiques tremblent mais aussi les arcanes qui soutiennent l’existence des nations.
Sommes-nous assez bien assis pour résister au choc ?
Il y a le fait que nous avons une classe politique qui ne sait pas lire avec les lunettes du présent.
Le pouvoir se complait de plus en plus à écouter les voix chantantes de ses applaudisseurs. Le zèle malsain et hypocrite est souvent assimilé au militantisme. Les jeunes manifestants de notre « place Tahrir » si immatures et si peu nombreux se sont vus envahir l’autre jour par une masse de faux militants du parti au pouvoir venus crier leur dévolution aux autorités. Le résultat : ces héros d’un jour « prêts à défendre le Président » ont été obligés de s’enfuir honteusement devant une attaque menée par  de petits voyous qui eux comprennent bien que ces « militants » ne sont venus que pour se  faire voir et quémander des faveurs. Le malheur, c’est que cette race de « militants de l’UPR » se retrouve de plus en plus dans les arcanes de l’Etat et de l’administration.

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